Après un long voyage [Libre]

Karine revenait d'un très long voyage, elle avait déposée ces affaires chez elle, son frère ne ce trouvait pas à la maison donc elle sortit, elle alla faire un tour au lac, elle y arriva après 10 minutes de marche à pieds, elle s'installa dans l'herbe, prêt du lac, et regarda la surface du lac qui ne bougeait pas, reflétant le ciel, le soleil, elle sourit puis une personne vint à côté d'elle, créant une ombre sur la calme surface du lac, elle leva la tête mais éblouit par le soleil ne vit pas la personne qui ce tenait à côté d'elle, elle demanda donc.

"Qui êtes-vous ?"

Gaëlle avait fait un long voyage, elle avait pris l'avion depuis New York, simplement dans le but de trouver un lieu loin de la folie de Ney Work. Comment se faisait-il qu'elle avait des pouvoirs. Il fallait qu'elle aprenne à les controler, mais ceux qu'elle voulait surtout, c'était savor pourquoi. Sa rencontre avec Raya et Sylar l'avait changé. Gaëlle se diriait vers le parc, et vit le lac, elle fut fasciné par la beauté du lac, et s'avança instinctivement vers le lac. Elle voulait le contemplé, mais aussi essayer son "pouvoir", si même lorsqu'elle n'était pas à New York, cela fonctionnait. Elle s'aprocha, voulant geler cette imense lac, mais elle fut stopper par une personne qu'elle n'avait pas vu.

*Qui je suis...Drole de question, c'est rare que les gens demande ça à une personne dans un parc....Qu'est ce que je vais répondre...Elle risquerait de me prendre pour une folle si je lui disais, "je suis une fille qui à des pouvoirs, et je suis venue dans le seulbut de geler le lac."*

"Enfait je viens admirer le lac...J'habite à New york, et à part Central park, y à pas beaucoup d'endroit comm celui-ci. Et vous?"

"Juste une simple habitante de la région qui revient d'un long, très long voyage loin de son pays natal !"

Répondit la jeune femme avec douceur Karine, elle adressa un sourire à la jeune fille qui ce trouvait en face d'elle bien qu'elle ne la vit toujours pas à cause du soleil, la voie de celle-ci lui indiquait qu'il s'agissait bien d'une fille, enfin un nuage recouvrit le soleil et elle vit enfin une femme âgée d'une vingtaine d'année, du haut de ces 15 ans, Karine ce sentait ridicule, elle sourit puis reprit enfin parole.

"Je m'appelle Karine, et toi ? Enfin puis-je te tutoyée ?"

Elle sourit puis attendit silencieusement la réponse de la jeune femme.

"Gaëlle...Moi je m'appelle Gaëlle. Oui, vas-y, tu peux me tutoyer. Mais est-tu sûr d'avoir le droit d'être ici toute seul sans tes parents? Parceque tu me semble jeune..Enfin plus que moi, déjà."

Gaëlle s'assit à gauche de Karine, et regarda le lac. Elle posa ses mains dérrière elle, puis s'allongea pour regarder le ciel. Le nuage venait de passer, et le soleil se remit à rayonner. Le vent se leva, l'endroit était calme, le vent, et les rayons du soleil qui caressait le paysage.

*Sylar...je dois essayer de protéger les autres personnes comme moi. Ils ne doit plus en avoir. Il est claire que moi et mon organisation pouvons faire quelque chose, mais sa ne servirait à rien contre lui...Enfin, ne pensons pas à sa, considérons que je suis en vacances.*

"Dis moi, tu crois en quelque chose, comme la magie...ou des dons hors du commun?"

"Ne t'en fait pas pour mes parents, à 15 ans, j'ai passée l'age de la nounoue quand même ..."

Répondit calmement Karine, elle s'allongea à son tour quand Gaëlle s'allongea aussi, elle regardait le soleil, là d'où elle tirait ces "pouvoirs" puis quand Gaëlle parla de magie et de don, Karine pensa immédiatement que la personne à côté d'elle avait des pouvoirs comme elle en avait, elle fit un signe de tête possitif à la jeune femme puis prit la parole.

"Oui, je pense que ça existe et j'en ai des preuves ... Je crois ..."

Karine sourit de nouveau, elle fixait toujours le soleil et elle sentait la lumière du soleil rentré en elle et lui donnée de l'énergie.

Gaëlle sourit lorsque Karine dit qu'elle avait passé l'âge d'avoir une nounoue. Regardant les nuages passait. Quelque instant passèrent quand Karine dit qu'elle y croyait. Gaëlle se leva, s'approcha du lac, et posa la paume de ses deux mains à la surface du lac.

"Tu crois...Alors si tu as un don, ne fait jamais confiance à Sylar...Jamais...C'est un psycopathe, qui cherche à voler tous les dons en tuant les gens...Sinon regarde sa. Je ne sais pas trop comment sa marche, donc je te préviens, il risque de faire froid. Regarde la surface du lac..."

IL fesait de plus en plus froid, pourtant le soleil était encore présent, est rayonné. Le lac se gelait petit à petit, pour devenir une surface de verglas. Pour éviter le "bain de foule", Gaëlle se reconcentra, et la température augmenta suffisement pour faire fondre le lac rapidemment. Certaines plantes autour périssaient, désséché. Elle se rassit, et la température redevint normal. Elle regarda Karine en lui souriant.

"Vas-y, je suis sur que tu as toi aussi un don. Sinon je ne pense pas que tu aurais dis à quelqu'un que tu connais à peine que t'y croyait....Enfin, c'est ce que je pense, sinon je me suis trompé. Mais quoi que tu sois, considère moi comme humaine."

"Ne t'en fait pas, je ne te considère pas comme autre chose qu'une humaine, de toute façon, quoi que nous soyons, nous le somme toutes les deux ..."

Karine ce concentra, son pouvoir était assez incontrôlable mais elle devait lui montrée ce qu'elle savait faire.

"Il va faire très chaud dans un moment ..."

La main de Karine commençait à rayonné, elle la garda fermée un long moment puis enfin l'ouvrit, une boule d'énergie solaire était en train de flottée dans sa main.

"La puissance du soleil dans la paume de ma main ..."

Pour Karine, cette phrase avait beaucoup de sens, elle contrôlait l'énergie solaire, source de toutes vies sur Terre, sans le soleil, il n'y aurait pas de personnes vivantes sur cette Terre ... Elle commençait à comprendre le fonctionnement de son pouvoir, la boule solaire finit par ce divisé en 4 petites boules à la volonté de Karine, les boules émettaient une puissante chaleur, étouffante même, c’est pour cela que Karine fit disparaître les boules peut à peut, comme si sur un tableau, l’image ce rétrécissait et ne devenait qu’un souvenir, elle sourit tristement, en gardant en mémoire que toutes énergies étaient éphémère et demeura silencieuse.

*Heuresement que ni le froid, ni la chaleur ne me font d'effet parcequ'elle a raison. Il à du faire extremement chaud...Oui, elle a raison...La puissance du soleil contenue dans la paume de sa main...Une jeune fille, la main d'une jeune fille. Malgré ce pouvoir, elle ne pourra pas se battre contre Sylar...Nous étions deux, et nous avons échoué...et chaqe jour qui passe le rend plus puissant. Il ne doit en aucun cas tomber sur Karine, et qu'elle fasse également le bon choix. Choisir de servir le bien...ou le mal. *

"Avec un pouvoir pareil...hum, méfie toi de Sylar, ne le laisse jamais fouillé ton cerveau, ça deviendrait encore plus dangeureux que maintenant. Même si il essai de se faire passer pour un gentil, un martyr, ou qu'il cherche ta pitié. Il à tué tellement de gens...C'est évident, sinon il n'aurait pas autant de pouvoir..."

"Ne t'inquiète pas pour moi, entre mon pouvoir et celui de mon frère, nous sommes assez pour le contenir, mon frère pourrait le détruit par sa simple pensée, il pourrait le broyé les os et le tué ainsi s'il le souhaitait, et moi je pourrais le faire cramé et le réduire à l'état de cendre, ne t'en fait pas pour moi ..."

Elle sourit puis resta allongée, Sylar, ce nom lui disait quelques choses mais elle n'en avait pas peur, elle était prête à le combattre s'il le fallait. Elle resta maintenant silencieuse.

"Bien, je te fais confiance. C'est vraiment un très beau lac. Vous avez de la chance d'avoir des décors de ce genre par ici. Je dois y aller, j'ais des choses à faire. Sa ma fait plaisir de parler avec toi. Peut-être nous reverrons nous un jour, qui sait? Si jamais tu vas à New York et que tu ne sais pas où aller, tu pourras venir chez moi. On sait jamais. Aurevoir."

Gaëlle se leva, sortit un stylo et écrivit son adresse sur un papier qu'elle donna à Karine. Elle regarda encore quelque instant le lac qui s'étendait devant elle, puis partit.

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