Nouvelle vie ! Nouvelle ville [Abygail]

Quentin arriva enfin dans sa nouvelle ville qu'on nommait New York, il était bien content avec Sol'or d'être arrivé, depuis le temps qu'ils marchaient tous les deux dans divers endroits, ils avaient fini par arrivait là. Mais tout de même épuisé de leur voyage, ce n'était pas de tout repos, enfin il y a certain moment, il rencontrait d'autre chien et discuté avec eux ou demandé la route et bien sûr ils répondaient gentiment et faisait un bout de route ensemble avant de se quittait. Et voilà comment sur la route il rencontra, Albert le chien de la maison, Fraka le bâtard connaissant toutes les rues, Jacky le bon tuyau et d'autres très sympathique, mais ne faut pas croire que le voyage était toujours comme cela, non à des pires moment il avait rencontré Molosse, un chien de race royvaleur à qui ils n'avaient pas toujours été en bon accord et souvent des batailles s'éclata entre sa bande et les deux amis.

Ce voyage fut très instructif pour l'enfant, car il en appris plus avec Sol'or que ses 15 années avec son père. Son ami lui avait appris le langage des chiens, comment se battre comme eux, la discrétion et autre spécialité que les chiens de rues doivent connaître pour passé inapersu. Parce que être un chien des rues est très dangereuse, surtout avec les hommes qu'on appelle les hommes de la fourrière. Leur voyage se succédait de ville en ville, pour manger, Quentin payé la nourriture pour lui Sol'or, avant de partir il avait pris pas mal d'argent dans le coffre de son père et pour plus de sécurité il avait, malheureusement, volé une arme sous la forme d'un chien.

Mais après beaucoup d'effort ils arrivèrent enfin à New York, ville de la liberté. La nuit allait bientôt tombé et il faudrait trouver un endroit pour dormir. Ils dormaient souvent à la belle étoile dans les endroits reculés, Quentin sous forme d'humain bien sûr, mais ne croyait pas qu'après toute cette aventure il ne sentait pas la rose, parce qu'il prenait régulièrement des bains dans une fontaine ou dans des endroits où il y a de l'eau propre. Donc les voilà arrivé dans le parc, Quentin en forme humaine assit sur un banc avec Sol'or à côté de lui.

Bien que la vie soit agréable a vivre, elle n'était pas pour autant facile. C'était un peu ce que pensait Abygail aujourd'hui. Marchant dans le parc avec une mine triste, elle ce trouvait lente aujourd'hui... très lente... trop lente. Elle s'ennuyait a mourir, a ne pas savoir quoi faire, elle avait envie de parler a tout le monde, mais n'osait aborder personne, si c'était pas triste tout ca, deplus, depuis peu, elle avait remarqué que ses emotions influencaient son pouvoir et que quand elle était de mauvaise humeur, il lui arrivait de dematerialisé quelque chose sans le vouloir. C'était horrible d'être dans la peur constante de pouvoir faire du mal a quelqu'un sans le vouloir...

Même si Aby ne pouvait dematerialisé les humains, elle pouvait leur faire du mal, une fois, il lui était arrivé de dematerialisé une chaise sur la quel une personne (qu'elle n'arrivait pas a ce voir, certes) était assise, celui ci était alors tombé dans un grand fracas en juran tout les dieux existant, et il était resté hébété devant la soudaine disparition de sa chaise. Cela avait fait sourire Abygail sur le moment, mais aprés, elle s'en était voulu a mort a cause de cette gaffe.
Abygail eut un frisson. Il commencait a faire froid et la nuit tombait petit a petit, c'était encore pas de chance, mais tans pis, elle ce balladerait la nuit, même si, Central parc était le rendez vous des vendeurs de drogues la nuit, decidement, l'on était en securité nul part.

La jeune femme blonde s'installait sur un banc non loin de la, une mine deprimé, elle regardait un jeune garcon ce trouvant a coté d'elle. Qu'est ce qu'un adolescent faisait a central parc a cette heure, si cela avait été elle, ses parents adoptifs l'auraient disputé pour qu'elle rentre de tout urgence, mais ils étaient trop a cheval sur les regles et celui ce trouvant a coté d'elle avait l'air quelque peu rebelle. Neanmoins elle ne pouvait ce retenir de lui poser la question et de s'inquieter...

- dit moi... Qu'est ce que tu fais encore la a cette heure ?

Quentin était assis sur le banc depuis peu. Il regardait en face de lui à réfléchir sur ses actes passé. Une main était dans sa poche et l'autre caressait Sorl'or le labrador à côté de lui. Ils étaient bien tous les deux, pas de problème est la nuit calme et reposante commencer à arriver. L'enfant aimait beaucoup la nuit, car souvent elle est très douce, tranquille, pas de problème et le temps passe au ralenti. On peut rester des heures à être allongé sur un banc à regarder les étoiles dans le ciel a pensé à tout ou à rien, il faisait souvent cela quand il était chez lui, le soir seul. La nuit était pour lui comme un ami, qui vous protège et vous calme, il vous écoute et répond à vos questions.

Mais ce soir, n'était pas aussi reposante que lord des dernières fois. Parce que là, il s'inquiétait sur beaucoup de choses à la fois. Il avait certes réussi à être à New-York, certes en bonne santé, mais sans logement, bientôt sans argent, donc sans nourriture et il avait volé une arme. Depuis ce jour, il n'arrêtait pas de penser à cela. Elle était bien calé entre sa ceinture derrière lui, pour la sortir facilement, mais il ne sent servirait qu'en cas de besoin. Pas pour le plaisir, ni pour braquer quelque chose, mais il avait peur, peur de blesser quelqu'un avec, peur que la police le trouve avec ce si et l'arrête, le renvoyer chez lui et emmener son seul ami à la fourrière. Après un coup comme ça, ses parents, ou plutôt son père, allait le tuer sur place.

Quentin était tellement perdu dans ses pensées qu'il sursauta un peu quand une personne vient s'installa à côté de lui. Il tourna la tête et se détendis un peu, ce n'était qu'une jolie jeune femme, elle paraissait si triste, mais d'une grande gentillesse envers les autres. Ou grave à ses pouvoir de transformation, il avait acquis le pouvoir de resentir les émotions des gens, comme les chiens ressentent la peur chez les autres. Il regarda un moment la femme avant de diriger son regard vers le haut des bâtiments. Sol'or n'avait même pas vu la femme, mais quand elle posa la question, le chien descendit du banc pour s'approchait de la femme et la renifla.

*Est arrête !*

Juste pour connaître son odeur !

Tu l'as connaîtra plus tard.

L'enfant fit un signe à l'animal qui ne semblait pas vouloir arrêter de sentir la femme. Mais il détourna son regard pour voir la jeune femme à côté de lui qui avait posé une question. Heu... Parce que je n'ai pas nul par ou allé ! Ce n'est sûrement pas une bonne réponse, sinon directement aux autorités. Je me suis enfuit de chez moi et je peux vivre comme un chien ! Direction l'asile le plus proche. Que dire, mais il répondit simplement d'une voix calme est serein.

Est bien, j'aime beaucoup la nuit, elle me repose... J'écoute le silence et réfléchi sur les actes passaient. Et vous ?

Il ne savait pas trop quoi réponde.

Abygail c'était donc assise sur un bas avec un air deprimé. Elle regardait le garcon a coté d'elle un petit peu indifferente et avait essayé d'engager une conversation avec lui. C'était un peu peine perdu vu l'humeur qu'avait la jeune femme a ce moment precis. Elle regardait le chien qui ce trouvait a coté d'elle a présent. Une idée lui était venu en tête, mais elle ce demandait si ce chien était vraiment innofensif. Elle n'en savait rien et haussait les epaules pendant un instant, regardant les yeux de cette bete. Elle n'avait jamais rien compris au language des chiens de toute facon, mais poussant un dernier soupire, elle tendit la main pour lui gratter le haut de la tête avec beaucoup d'affection. Il lui manquait de la compagnie, a Abygail, voila, c'est tout. peut être est ce qu'elle devrait aller faire ses valises et filer pour las vegas dans la seconde qui suit, malheureusement, elle ne le ferait pas, ou tout du moins, pas encore...

- Est bien, j'aime beaucoup la nuit, elle me repose... J'écoute le silence et réfléchi sur les actes passaient. Et vous ?

Elle remarquait dans la voix du garcon un moment d'hesitation. Peut être que cela était vrai, mais il ne disait pas l'entiere verité a Abygail, et cela s'entendait rien qu'au son de sa voix. Un sourire triomphant apparut sur les lèvres de la jeune fille. Elle saurait bien assez tôt ce qu'il cache, peut être qu'au fil de la conversation, elle y arriverait ! Oui, elle y arriverait parce qu'elle est assez doué pour cela, alors, ne soyez pas surpris.

- Hn... Je dois te prevenir que Central parc la nuit, c'est pas super, c'est l'heure a laquelle les dealers en tout genre sortent de chez eux, et ou les psycopathes cherchent une victime, enfin, si tu vois le genre... Mais tu ne regretera pas le spectacle de la nuit, c'est trés beau quand la lune ce reflette sur le lac de central parc, et les eclairages sous les arbres la bas donne un aspect a ce monde particulierement beau, sans parler des petites etoiles qui eclaireront ton chemin...

Elle lui fit un petit clin d'oeil, aillant sortie son ame de poete pour le moment, ce n'était même pas n'importe quoi. Mais elle, tenant a savoir le "secret" de ce garcon, Abygail continuait son questionnaire :

- Tu es de New York ? au faite, je m'appelle Abygail, et tu peux me tutoyer, je le fais bien pour toi !

[desolé c'est court ><]

[HJ : C'est déjà pas mal ]

Le jeune garçon trouvait que la jeune femme semblait pas de bonne hurmeur, de la tristesse et beaucoup de solitude s'agrandissait en elle, une sorte de manque d'affection ou besoin de quelque à côté d'elle. Quentin se surpris à découvrir les sortes de sentiments envers la femme d'un simple regard, c'est sûrement grâce au transformation, certain animaux ressente plus de choses que d'autres et d'autres, encore d'autres choses et avec cela on pouvait savoir plein de choses, enfin quand on sait sens servir, choses qu'il ne savait pas faire, mais la nuit l'aidé plus avec son pouvoir que le jour ! Etrange est ce avoir avec son animal fétiche, non pas le chien un autre qui va bien avec lui.

L'enfant regarda le regard indifférent de la femme est entendit son soupire avant de gratté la tête de son compagnon, qui semblait apprécier, car il se mit entre lui et la femme est approcha son museau de la joue de la femme. Quentin lui fit resentir qu'il ne devait pas, mais ce chien de reçoit d'ordre de personne est commença à lécher la douce joue de la femme. La compagnie manquée beaucoup à cette demoiselle, cela se voyait un peu dans ses yeux et sur la caresse afectif sur Sol'or. Certain croit que la solitude et un défaut, pour lui c'est une bonne choses, cela permet de se remettre en question et de faire passé le temps sans trop de bruit autour ou de stressé. Il écouta la réponse de la femme est tourna le visage en face de lui.

Pour les hommes, je sais me défendre et Sol'or est avec moi. Mais vous avez raison, la nuit offre une meilleur vision du monde aucel son somme confrontée.

A la première phrase Quentin repensa à l'arme qu'il avait sur lui et son estomac se noua. Il regrette amerement ce qu'il avait fait et ce qui portait en ce moment, mais il devait se permet d'avoir cette arme, pour sa propre sécurité, il espérait seulement a ne devoir jamais l'utiliser. C'est à ce moment qu'elle se présenta avec un sourire étrangement de victoire, pourquoi ? Il ne fit rien paraître sur son visage.

Oui, je suis né a New-York, mais c'est la première fois que j'y viens. Enchanté Abygail, je m'appelle... Draquen ! Si tu veux !

Le soit disant Draquen n'avait pas révélé son nom, pour ne pas se faire repérer par son père aussi facilement, il doit avoir alerté les flics depuis le temps alors restons discret.

~ Flash Back ~

C'était une belle journée, comme celle ci, le soleil commencait doucement a ce coucher sur central parc, même si il était deja bien tard, d'ailleurs, les derniers rayons de celui ci disparraissaient et Abygail ce promenait main dans la main avec son "demi-frere", c'était le temps ou ils étaient tout les deux amoureux, et surtout, peu de temps avant qu'ils ne ce separent... Elle regardait devant elle avec un grand sourire aux lèvres, qui n'arrivait pas a disparraitre, pourquoi ? Elle était peut être de bonne humeur, même sans savoir que dans quelques jours elle allait mettre fin a cette relation peut être trop extravagante. son demi-frere était distrait par ce petit sourire, et il lui avait alors soufflé...

"Y'a toujours quelqu'un qui t'attend quelque part.
-Où ?
-Là ! A deux pas. Assis sur un petit banc."

La phrase de depart n'avait jamais eu rien a voir dans la situation, c'est pour cela que Abygail avait enchainé avec une question, curieuse de connaitre sa reponse, et quand enfin elle l'eut, elle levait un sourcil interogateur, regardant ce fameux banc, il n'y avait personne ce jour la mais elle était assise dessus aujourd'hui...

~ Fin du Flash Back ~

Abygail s'eveillait enfin de son reve eveillé. Elle secouait brievement la tête, caressant le chien machinalement, sans vraiment comprendre pourquoi elle le faisait. C'est alors que ce dernier s'approchait d'elle, ce metant entre les deux (Quentin et Abygail) pour ensuite approcher son museau de sa joue. Abygail eut d'abord un mouvement de recul, surprise de la reaction de l'animal, mais aprés, elle ce laissait faire, peut être un peu trop a cran ces temps si... Elle caressait toujours le chien sans vraiment savoir pourquoi elle le faisait, encore un peu, et elle serait capable de le ramener chez elle, sans rire, Abygail pouvait tout faire, mais il faudrait peut être qu'elle ramene le maitre de ce chien aussi, non ? Bien quoi, elle n'allait pas le laisser sans son animal de compagnie, Aby pensait d'abord aux autres, c'était tout naturelle chez elle...

Et puis, grace a ce jeune garcon, elle retrouvait peu a peu son sourire, elle avait eut un moment de faiblesse et de deprime, mais maintenant, elle allait mieux. Abygail lui fit un sourire, tout en l'ecoutant parler. Elle eut alors un moment de doute, elle ce tournait vers le garcon avec un regard interogateur, elle le regardait droit dans les yeux, celui ci devait ce demander ce qu'il pouvait avoir surment, mais Abygail irait droit au faite pour cette fois, sans faire de detour, pourvu qu'il reponde...

- Es tu en train d'insinué que tu vas passer la nuit ici ? Parce que si c'est le cas, je te traine jusqu'a chez moi pour te relacher seulement demain !

Elle était trés serieuse dans ce qu'elle disait, hors de question de laisser un adolescent dehors , c'est alors que Abygail baissait les yeux pour remarquer quelque chose qui depasser dans le dos du garcon, elle haussait un sourcil, mais tans pis, elle n'en preterait pas attention... pas maintenant en tout cas... mais la conversation c'était porté sur New York. Il lui avait dit que c'était la premiere fois qu'il venait ici, même si il était née dans ces lieux. Abygail eut un sourire, elle connaissait New York sur le bout des doigts !

- Si tu as besoin d'aide ici, n'hesite pas, je connais tout les bons magasins et restaurant, enfin... je connais New York par coeur !

Abygail eut alors un petit sourire, elle voulait pouvoir aider quelqu'un, alors si c'était un adolescent qui venait juste d'arriver, tans mieux, cela ne la genait pas...

La nuit s'annonçait plutôt douce et tranquille. Quentin aimait beaucoup ce moment, il était assis sur un banc, à regarder les étoiles en compagnie de Sol'or et d'une charmante femme nommée Abygail, qui venait de rencontrer. Ils étaient seul, dans le parc, pas de bruit et pas de vent, pour l'instant aucun signe de vie autre de ceux sur le banc. Le temps semblait s'arrêter est la jeune femme était perdue dans ses souvenirs, ce que faisait souvent l'enfant les jours de peine ou de solitude et il respectait cela, il ne faisait pas de bruit le regard sur la femme.

Sol'or semblait beaucoup aimé les caresse d'Abygail, vu comment sa queue s'agite de droite à gauche à grande vitesse, Quentin avait appris que cela voulait dire qu'il était heureux et en pleine forme, mais surtout qu'il aimait cela et vous appréciez, il avait appris lord de son voyage avec le labrador. Un mince sourire aux lèvres en voyant son ami ainsi, mais qui se transforma vite en sourire gêner quand Sol'or voulait lécher le visage de la femme. Ce n'est pas parce que qu'il n'est pas propre, mais c'est qu'une léchouille de Sol'or, ne vous laisse pas à désirer, mais sa remonte le moral.

Non, non, je ne vais pas dormir ici. C'est juste que... je ne voudrais pas abuser de votre hospitalité, mais je vais sûrement trouvé en endroit pour dormir... Je ne sais pas où... Heu si, chez moi bien sûr ! Je suis bête...

Pour être bête Quentin était bête, il n'avait pas assuré sur se coup là, lui qui voulait passer inaperçu est être tranquille va se retrouvait derrière les barons avant de retrouver son père quelque bleu. Il s'était vendu lui-même, est Sol'or le regardait bizarre, faut le comprendre. Mais après cela, il faudrait révéler la dur vérité de la vie.

Merci, mais je vous dois des explications...

*Ques-ce que tu fais ? Dire rien !*

*Désoler Sol'or, j'y suis obligé, sinon elle m'envoyerra directement à flic et...*

Quentin n'osait pas imaginé la suite. Il prit une grande inspiration avant de s'adressait à Abygail.

je ne m'appelle pas Draquen, mais Quentin... Je me suis enfuit de chez moi et je viens d'arriver aujourd'hui. Je voudrais juste que vous ne m'envoyez pas chez la police et Sol'or à la fourrière, s'il vous plait !

Il regardait droit dans les yeux Abygail !

Bon, resumons ! Aprés un petit coup de deprime avait amener Abygail a ce promenait dans le parc de New York : Central Park, aprés avoir marché un petit moment, Abygail c'était assise sur un banc et avait alors fait la connaissance avec un jeune garcon du nom de.... Draquen, même si elle avait des doutes que ce soit son veritable nom. D'ailleurs, elle ne l'avait pas appellé par ce nom depuis le debut. Et puis, une petite conversation c'était installé entre les deux personnes, elle avait alors decouvert un certain nombre de chose a propos de lui, et en avait été "satisfaite"

Puis, ils étaient venu un sujet de conversation un peu plus serieux, Abygail caressait machinalement le chien de Draquen. Elle ne connaissait absolument rien au language cannin, mais elle savait que quand un chien agitait sa queue (xD) c'est qu'il était content ou satisfait de quelque chose. Aby fut tout de même surprise quand le labrador voulait lecher son visage, au debut, elle eut un mouvement de recul, mais aprés, elle ce laissait faire, et puis, enfin, il avait decidé a parler. Il était en train de lui raconter un gros mensonge, facile a deviner, il ne savait pas mentir et Abygail l'avait remarqué depuis le debut, c'était gros comme une maison, en parlons de maison, il n'en avait pas...

- Si c'est moi qui te le propose, tu viens sans faire d'histoire, je prends mes responsabilité, je suis adultes nan ? Mais puisque tu as une maison... hum hum...

Elle lui fit un petit sourire, avec un regard remplit de malice, qui voulait un peu dire "rien ne sert de cacher encore ta verité", et puis, elle ne lui ferait pas de mal de toute facon, elle comprendrait tout ce qu'il lui expliquerait, peut être chercherait elle une solution a son probleme. Abygail n'était pas mechante loin de la, et comme je l'ai certainement deja dit, pour elle, ce sont les autres avant tout, son bonheur perso passerait toujours aprés...
Et enfin, celui ci pris une grande inspiration pour tout lui expliquer, Quentin, son vrai nom, lui disait toute la verité, il lui communiquait alors qu'il ne voulait pas être envoyé chez les flics, et il ne souhaitait pas non plus que son chien ce retrouve a la fourriere. Abygail lui fit un sourire qui ce voulait rassurant, et lui dit :

- Je ne suis pas comme ca, je n'appellerais pas les flics pour qu'ils viennent te chercher, parce que ce n'est pas a moi de le faire, ton chien n'ira pas a la fourriere parce que j'ai un coeur et que je n'oserais jamais faire ca a une pauvre bete, maintenant, je souhaite te dire que si tu veux un logement, je peux toujours t'en proposer un,...

Elle eut alors un petit sourire amusé, et continuait :

- Non, en faite, je te force a venir chez moi pour que tu es de quoi vivre un peu, pendant tout le temps qu'il te faut ! C'est pas une proposition, c'est une obligation xD !

[HJ : Je n'ai pas le choix ? xD ]

Le jeune garçon a peine arrivée ici, n'aurait sûrement pas tenu une journée à l'endroit où il voulait aller avec Sol'or. Dans quelques heures, il retrouverait son père avec ses yeux méchant, son allure meurtrier, habillé en noir, avec sa cravate à lui faire dégouté, ses airs qui vous regardent de haut et bien sûr la méchanceté qui fait sentir. Grave aux relations de son père, il réussira à faire sortir son fils de là, envoyer Sol'or à l'abattoir et a le rammener de force au manoir. Suite de quoi, son père le battra est l'enfermera dans sa chambre. L'enfant ne pourra pas se défendre sans révéler son pouvoir aux autres ou d'utiliser son arme, mais il ne pourra pas !

Quentin se sentait stupide d'avoir révélé à la première personne venue ses actes et d'avoir le regard de Sol'or sur la conscience, mais mise à par cela, il sentait au fond de lui qu'il pouvait faire confiance à Abygail. Il espérait seulement de ne pas à revoir son père et de ne pas lui causait des embêtements, c'est la dernière chose qu'il voudrait faire, faire des ennuis aux personnes proches de lui. C'est pourquoi la remarque de la femme il ne répondit pas, c'est étrange comme il n'aimait pas qu'on lui offre l'hospitalité en ce moment, il savait bien qu'elle faisait cela que pour l'aider, mais il pensait toujours qu'on ne le croyait pas capable de quoi que ce soit, comme son père. Alors que Quentin pouvait faire de grandes choses sans l'aide de personne.

Sol'or lui avait arrêté de secouer sa queue et écouté ce qui se passait. Il était un peu déçu que son compagnon n'est pas eu assez de crans pour supporté le regard de la femme et de s'être planté comme un chiot. Oui bien sûr, il ne savait pas mentir, mais il aurait pu faire un effort, voilà pourquoi, heureusement, les chiens ne savent pas parlé aux humains, comme cela, ils peuvent dire n'importe quoi et ils ne comprennent pas.

*Draquen pourquoi as-tu fait cela ?*

Désoler, mais je n'avais pas pu mentir. Et puis elle aurait trouvé le secret.*

*Un secret n'est pas trouvé quand il est bien gardé. Il faudra reparlé de cette histoire de mensonge, je vais t'apprendre à bien mentir...*

*Ouais, si tu veux.*Il tourna son regard vers la femme.Merci à vous, je ne saurais comme vous remerciez, mais je ne peux aller chez vous est profité de votre maison. J'y arriverais bien avec Sol'or.

il aimait beaucoup le sourire de la femme est regretté de ne pas avoir accepté tout de suite ce qu'elle demandait.

[non, tu n'as pas le choix *rire sadique a la Sylar* xD]

Un petit sourire c'était dessiné sur le visage de Abygail quand elle regardait le jeune garcon, il devait être plus jeune qu'elle, c'était sur, surment un adolescent pensait Aby, puis enfin, son regard c'était posé sur ce qui l'entouré, baigné d'une lumiere dorée que seul le soleil de New York deversé a cette heure si de la journée, l'aurore. Tout commencaient a s'endormir, en même temps que le soleil ce couchait, il restait encore quelques chants mené par les oiseaux qui n'allaient pas tarder a s'eteindre pour laisser place au monde de la nuit. Abygail regardait alors le personnage ce tenant toujours la, a coté d'elle, d'un regard attendrie. La nuit certainement encore courte si elle ce perdait dans une discussion avec ce garcon, Quentin.

Caressant toujours aussi machinalement le chien qui ne tentait a présent plus de lui lecher le visage, Abygail avait engagé une conversation plus qu'importante avec ce fameux Quentin, elle sentait a présent qu'il était géné, et elle le comprenait, mais ce n'était pas de sa faute, Abygail avait toujours eut le don de decouvrir les pires secrets, et elle n'en avait jamais révélé un seul. D'ailleurs, même les siens restaient enfermé dans un coffre fort au fond de son coeur, et elle ne c'était promis de n'en parler qu'a une personne en qui, elle aurait la plus grande des confiances, sa meilleure amie, son amour. C'était deja bien suffisant pensait cette derniere en ce tournant vers Quentin avec un regard qui ce voulait, encore une fois, rassurant.

Abygail ne ce preoccupait même plus du chien qui restait la a ecouter certainement, et d'ailleurs, elle c'était toujours demandé si les chiens comprenaient les humains... Peut être est ce qu'il n'entendait d'un vague "bla bla bla" ... Mais la n'était pas le probleme, ou tout du moins, la conversation. Elle remarquait quand même que ce garcon s'entendait trés bien avec son chien. Abygail hesitait... si jamais elle devait heberger le garcon chez elle, elle pensait qu'il serait temps de lui expliquer ce qu'elle était, mais attendons qu'elle le traine jusqu'a la bas pour lui en parler, Abygail n'était pas une sorciere, juste un femme avec des dons.
Quentin dit alors a Abygail qui la remerciait, mais qu'il ne pouvait accepter. Une lueur de malice penetrait son regard pour qu'enfin, elle lache a l'adolescent :

- Bien sur que si, tu le peux, et même tu vas me suivre, je te l'ai dit, tu n'as pas le choix ^^

Ce levant du banc et faisant quelque pas, la jeune femme ce retournait vers l'adolescent et son chien, avec un sourire sincere aux lèvres, elle ne tenait pas a laisser un garcon la, une nuit a central parc, c'était deja trop, surtout avec ce qui rôdait...

- Ben alors, tu viens ?

[HJ: Bon, puisque je suis obligé ^^]

Les secondes passèrent et les minutes puis la nuit comme à tomber petit par petit, doucement. Plongent la ville dans une lueur sombre et mystérieux, la nuit faisait toujours peur aux personnes, les plus petits comme les grands. La nuit c'est l'inconnu et le mystère, quand on est en train de se balader la nuit, on ne sait jamais sur qui tombait et ce qui va ce passé ensuite. Elle fait peur, mais pour Quentin, elle était étrange et curieuse, inexploré. On a beau dire que la nuit ce n'est que le couché de soleil, mais c'est bien plus que cela, quelques choses d'inexplicable.

L'enfant toujours assit sur un banc en plein central Parc avec pour compagnie son ami labrador et une jeune femme qui venait de rencontrer est qu'il avait révélé ses secrets qu'il ne devait pas dire, mais le sourire rassurent d'Abygail, justement, rassurait l'enfant. Lui qui n'avait jamais eu l'amour maternel, avait été livré à lui-même très jeune, il ne connaissait pas la douceur d'une femme pour un enfant, ni le gentillesse de celle-ci. De savoir que quelqu'un s'inquiète pour vous dès que vous sortez un soir, de rentrer chez vous heureux de voir que quelqu'un vous attend, il n'avait jamais connu ça, malheureusement pour lui.

Sol'or le trouvait bien bizarre ce soir, pensif comme cela surtout quand une femme Abygail l'invité chez elle pour l'aider. Si ce n'était que lui, il aurait accepté. De telle caresse on en trouve pas tous les jours, mais il ne voulait pas intervenir dans le choix de Quentin peut-être avait-il des problèmes ? Doucement, le labrador descendit du banc pour mettre sa tête sur les genoux de Draquen en le regardant dans les yeux. Certains croirons qu'il faisait pitié et qu'il était triste, mais cela voulait dire "Je suis avec toi", Quentin le comprenait.

L'adolescent avait presque les larmes aux yeux en réfléchissant sur l'amour maternel, lui qui n'avait pas eu de mère, une femme qui connaissait à peine lui offrait un toi, il ne pensait pas trouver de telle personne ici, son père lui disait que dans le monde extérieure il n'y avait que des ennemis, des gens qui vous veux du mal, mais il se trompait, on peut rencontrer des personnes qui on un coeur. Quand Sol'or vient se mettre sur ses genoux avec son regard, Quentin eu un sourire et caressa la tête de son ami. Il pouvait compter sur lui. Il resta silencieux quand Abygail fit une remarque amusante et se leva avant de se retournait pour lui parler.

Oui, j'arrive...

Quentin se leva du banc et s'avança vers Abygail avec Sol'or qui trotinait à côté. On font de lui, il remerciait le ciel de cette rencontre. Arrivé près d'elle il murmura avec un mince sourire.

Merci...

Alors qu'un moment de deprime c'était emparé d'elle, la jeune Abygail avait retrouvé le sourire grace a un chien et un adolescent. Elle était auparavant assise sur un banc en leurs compagnies et avait decidé de les amener tout les deux, pour les aider (puisqu'ils n'avaient pas de logement), chez elle. C'était le minimum qu'elle pouvait faire pour tout les deux. Même si elle savait qu'elle ferait mieux d'amener le garcon au policier, elle pensait que ce serait mieux si c'était lui qui ce decidé a y aller, bien sur Abygail ne pouvait pas le forcer et ne le ferait jamais puisqu'elle ce posait bien trop de question au sujet de la fuite du garcon de chez lui. Elle ne rencontrait pas tout les jours des gens qui fuyaient leurs maisons.

Plein de question dans son esprit quelque peu torturé, Abygail avait des questions en tête, tout ca l'empechait de reflechir correctement, elle était bien trop concentré sur ces questions qui lui parraissait peut être un peu trop indiscrete, mais Abygail était peut être bien trop curieuse, et cela ne ce faisait pas de poser des questions, alors que Quentin ne demandait rien, lui... Même si elle ce doutait de la reponse du garcon, elle se demandait si il vallait mieux attendre qu'ils soient chez elle, ou peut être lui poser maintenant... C'était bien etrange, mais d'abord, pourquoi était il partie ? C'est vrai qu'il y avait tellement de raison, Abygail pensait connaitre la sienne, peut être était il maltraité, malmené, c'était encore possible de nos jours, tout le monde n'est pas civilisé, Abygail en a deja fait les fraits...

- J'ai une question, tu es libre d'y repondre ou pas...

Elle marquait une pause, serrant un peu les poings, Abygail avait deja fuit de chez elle, quand elle était encore avec son pere, quand elle n'en pouvait plus de ce prendre des coups a cause de ses exces de colere, Abygail avait beaucoup de fois, essayé de ce defendre contre cette homme sans coeur qui ne l'avait jamais aimé comme un pere devait aimer une fille. Abygail avait donc fuis plusieurs fois, sans reflechir aux consequenses et a chaque fois, son pere l'avait retrouvé, de ces fuites pas trop reflechis s'en suivait des coups attroces, suite a une de ses ballades nocturnes, Abygail avait du terminer a l'hopital a cause d'un violent coup porté a la tête, la jeune fille c'était retrouvé dans un etat plus ou moins grave. La jeune fille avait beaucoup souffert de ca, mais ne c'était jamais plaint pour autant...

- Pourquoi es-tu partie de chez toi ?

Elle se doutait que le gamin devait être un peu comme elle, dans le sens ou l'on ne fuit pas ainsi, pour partir a New York, sur un coup de tête, l'on ne craint pas de retourner chez son pere aprés d'ailleurs. Du moins, on ne craint pas comme l'avait craint Quentin. Oui, parce qu'il l'avait presque "supplier" de ne rien faire, de ne pas appeller la police, et puis, avec son air de chien battu. Abygail avait été attendrit sur ce coup, Abygail avait le coeur sur la main aussi. En tout cas, elle ne pourrait jamais renvoyé un adolescent chez des parents qu'il fuit. Il n'aurait qu'a revenir de lui même, parce que Abygail ne pourrait jamais le forcer...

Alors que le garcon marchait a coté d'elle et qu'elle attendait qu'il se decide a lui dire si il allait lui repondre ou pas, Abygail était trés pensive sur tout ca, même si elle aimait aider les gens...

En une nuit ici, Quentin s'était fait une amie généreuse avec le coeur sur la main, qu'il lui revoudrait toute la gentillesse et la sympathie de la femme et avait réussi à avoir un toit, surtout grâce à la femme. Maintenant il était, même si elle ne savait pas, lié a elle. Avec les animaux c'est souvent le cas, quand une personne ou un animal quelconque aide un autre animal dans le besoin, ils sont liés, enfin pas par une grande amitié ou autre, mais l'animal c'est si son compagnon à besoin lui aussi de l'aide ou pas et comme cela, il peut lui montrer sa gratitude envers lui, c'est très commun. Comme lui est Solo'r.

Le labrador était très curieux par la tournure des choses. La rencontre avec une femme, une discussion et maintenant elle les invitait dans sa demeure. Avant de rencontrer Quentin, si une personne lui aurait raconté cela, il lui aurait ris au nez, tous les humains, tout sexe confondu, était pour lui des menaces. Il ne croyait que personne n'aimait les chiens, enfin les chiens de rue, sauf que quelque rare occasion, ou une âme généreuse offre l'hébergement à un des chiens, mais pour lui c'était des légendes, dans toute sa vie, il n'avait jamais rencontré d'humain susceptible de l'aider, sauf un. Un jeune garçon qui le comprenait et qu'il pouvait être de même race, un humain comme cela on n'en trouve pas tous les jours, voilà pourquoi une amitié naissa entre le chien et l'humain. Sol'or trottinait à côté de l'enfant à regarder son compagnon est la femme.

Quentin avait remarqué que Abygail était un peu soucieuse, mais par quoi ? Ou par qui ? Il se disait bien qu'elle devait penser de lui, on ne rencontre pas souvent un ado qui fuit chez lui pour aller à New York et bien sûr des questions se posent, pourquoi ? Comment ? Quel raison particulier ? Il était habitué aux questions, son père lui en posé souvent quand il restait trop souvent au portail à regarder le chien. Il avait essayé de lui expliquer qu'il arrivait à comprendre le chien et de sentir ses émotions, mais son père ne le croyait pas et il détestait tout ce qui se rapproche de l'inexplicable et cela l'énervait Donc il devait passer ses nerfs sur son fils, alors que sa mère doit être encore chez un de ses nombreux amant.

Le jeune garçon regarda la femme quand elle prit la parole. Maintenant qu'il avait "accepté" de venir chez elle, c'est normal de tout lui expliquer, sauf peut-être qu'il pouvait se transformer en animal, cela était son petit secret. Et souvent il s'allongeait en regardant le ciel et se posait toujours la même question. "Il y a t-il d'autre comme moi ?" Juste avant de s'endormir. Mais la question n'était pas celle-la ni s'il avait un pouvoir, mais une question tout à fait normal.

Et ben...

L'enfant hésita de lui révélait cela, mais il le faudrait bien, il prit de nouveau une respiration avant de répondre.

C'est à cause de mon entourage, enfin surtout mes parents, car le reste de ma famille ne me connait pas et moi non plus. Je n'ai pas eu les meilleurs parents au monde, mais j'aurais quand même aimé dire que je les aimais.

Il fit une pose avant de reprendre, sa gorge était sèche et il parlait avec un ton d'amertume et de tristesse.

Mon père était un grand homme d'affaire et voilé faire de moi son image, bien sûr j'ai eu une bonne éducation est je suis allé à l'école, mais ça ne remplace pas un père. Mon père était très dure et savait ce qu'il voulait et quand je ne faisais pas bien ce qu'il voulait, je pouvais me prendre... Des... Des poings.

C'était difficile pour lui de parler cela à quelqu'un.

Personne ne pouvait m'aider et surtout pas ma mère. Que je n'ai pas très bien connu, pour ne pas dire que je ne l'a connaisser pas. Elle allait voir des hommes à droite est à gauche sans s'occupait de moi, enfant je ne comprenais rien, mais plus tard, je savais bien qu'elle s'envoyait en l'air avec un de ses nombreux c***ar

Quentin sera son poing, parlait de sa mère comme ça, lui avait réveillé de mauvais souvenir et une haine monta en lui. Mais il se calma petit par petit avant de reprendre son histoire.

Je ne sortais pas souvent de chez moi et ne connaissait personne, sauf un chien errant que je comprenais. On est tout de suite devenue ami, mais un soir mon père avait trop but et je n'étais toujours pas rentré à la maison, j'étais derrière le portail, il s'est énerver est me frappa de toutes ses forces de nombreuse, je ne pouvais rien de peur qu'il découvre...

Il se tue.

Le soir même, je suis parti de chez moi avec Sol'or.

Abygail avait souvent révé de son pere. La derniere fois, elle c'était reveillé en sursaut a 4heure du matin, parce que son pere était deguisé en chou fleur geant, et il tentait de lui faire manger une enorme sucette au brocolie. Depuis, Abygail deteste les brocolis, et tout ce qui est sucrerie. Elle avait cette impression que jamais il ne la laisserait en paix, que jamais elle ne pourrait vivre sans son image. Mais elle trouvait que c'était un peu de sa faute. Quand l'on l'avait mis dans une famille d'accueil, Abygail avait decidé de fixer son pere pendant plus de 10 minutes pour ne jamais oublier son visage, elle n'avait pas compris son geste a ce moment la, mais c'était son pere, celui qui lui avait donné vie, et elle pouvait le detestait pour ce qu'il avait fait, il restait neanmoins celui qui l'avait aider a vivre pendant tout ce temps.
Malgré les coups et la douleur. Abygail n'avait pas su excuser certain geste. Pendant un temps, elle avait même espéré qu'il meurt. Ou tout du moins, qu'il subisse a son tour les chose qu'il lui avait fait. Elle avait aussi plusieurs fois révé qu'il ne meurt dans la nuit, ou bien, qu'elle le tue elle même. Et Abygail ce demandait la reaction qu'elle pourrait avoir si l'on venait lui annoncer le décés de son vrai pere aujourd'hui. Peut être qu'elle sauterait de joie a ce moment la, ou peut être n'aurait elle aucune reaction. Tout ce qu'elle optiendrait c'est tout ce qui ce trouve sur son compte en banque, ses richesses, qui lui revienne de droit, parce que, jusqu'aux dernieres nouvelles, son pere ne l'avait pas encore deshérité.

Maintenant, elle tournait le regard vers le gamin a coté d'elle, ou plutôt l'adolescent. Il c'était decidé a lui parler, a tout lui raconter au sujet de sa fuite de chez lui. Elle avait tout de suite compris que ce serait difficile pour lui, rien qu'au premier mot "et ben..." tout en reprenant sa respiration avec de l'hesitation. Abygail comprenait et l'ecoutait, c'est tout ce qu'elle pouvait lui donner pour le moment. Il lui expliquait alors que c'était a cause de ses parents. Au yeux de Abygail, les parents étaient toujours la pour gacher quelque chose, par exemple, quand l'on veut aller a une fête et que l'on ne peut pas parce que maman a decidé que c'était pas bien et que papa n'en a rien a faire, ils disent toujours ca pour nous proteger, alors qu'ils savent pertinament que chez la meilleure amie, on ne craint rien !

Elle fixait toujours Quentin d'un oeil, et de l'autre, elle continuait a marcher en sa compagnie. Il lui avait dit alors qu'il aurait aimé les aimer. Comme tout les enfants, on veut aimer ses parents du mieux que l'on peut, mais la vie n'est pas toujours facile. Elle remarquait alors dans sa voix de la tristesse. Abygail le comprenait. Oui, en parlant de ses parents, elle n'avait pas connu sa mere, et aurait préféré en sachant ce qui l'attendait avec son pere. Il lui dit alors la situation de ses parents, que son pere voulait faire de lui un garcon bien, a son image surtout. Abygail detestait ce genre de personne qui voulait que tout soit parfait, et c'est quand Quentin employa le mot "poings" que Abygail tressaillit et s'enerva. Oui, elle bouillonait de l'interieur, tout en posant sa main sur l'epaule du garcon. Son pere utilisait aussi ses poings pour la frapper...
Elle savait a quel point c'était difficile de parler de cela de cette facon, mais elle attendait que le garcon ai terminé pour reprendre a son tour. Elle savait que sa gorge était noué a cause de cela, et Abygail était un peu dans la même situation que lui, simplement, elle avait su prendre du recul par rapport a cela...

- Tu sais, je comprends que ce soit difficle pour toi de me parler de tout cela, mais avant tout, je veux que tu sache que je te comprends. Et surtout, ne me fait pas une crise d'ado en me faisant "non, tu ne peux pas comprendre ce que j'endure". Parce que je dois être certainement la mieux placé pour savoir ce que c'est. Figure toi que mon pere n'était pas l'homme le plus tendre, il m'arrivait aussi de me prendre des poings, et figure toi même qu'une fois, il m'a envoyé sa bouteille de scotch brisé, dessus. Suite a mes blessures, il n'a même pas pris soin de me soigner, et j'ai eu une infection, ou j'ai terminé a l'hopital. J'ai d'autre recit ainsi a te dire, jusqu'a ce que l'on m'envoit dans une famille d'accueil.

Elle marquait une pause. La nuit qu'elle avait passé a l'hopital avait été forte deplaisante. L'infection avait agravé les blessures deja serieuse...

- En rentrant chez moi, je te montrerais quelque chose ! ^^

Elle lui fit un clin d'oeil malicieux, elle comptait lui reveler son secret, ce qu'elle était en realité. Peut être que cela l'effrayerais, mais elle preferait être franche avec lui...

Pendant tout son récit de son enfance qui racontait à Abygail, Quentin n'avait pas quitté son regard en face de lui. Son histoire lui avait rappelé de lourd moment avec son père et ses nombreux moment seul, sans personne, ni à son anniversaire, ni à Noël, ni aux autres fêtes de l'année. Les seuls cadeaux qui recevait était des crises de colère de son père, les blâme et trop souvent des poings à diverses endroits. Il se rappellerait toujours de son père, comme un être méchant et sans coeur, une personne qui ne pense qu'à lui et son image, avoir un fils qui lui ressemble être un modèle. Jamais il ne le respectera comme un père, il se demandait aussi souvent si son père et sa mère n'avait fait un marché, il l'avait fait par amour ? Ou par intérêt pour son père ?

Sol'or écoutait lui aussi le récit de son compagnon et le trouva bien triste, il lui avait déjà raconté sa vie autre fois, mais jamais cela. Voilà pourquoi il a un rapprochement pour les animaux, lui qui ne se fit plus haut humain se recueille parmi les animaux et sans sort plutôt bien, grave à la métamorphose. Pour lui faire comprendre qu'il était avec lui, il se frotta à sa jambe avec sa langue qui sortait de sa bouche, ils se comprenaient. Ils avaient souvent des codes comme cela entre lui et son ami et il savait toujours ce que l'autre voilé dire.

Quentin avait la gorge sèche à la fin de son récit et redevenu silencieux. Parlait de cela l'avait rendu muer après. Il ressentit la haine de quand il avait parlé de sa mère, mais disparut vite quand Abygail prit la parole, comme elle, il respectait est écouta silencieusement. Les crises d'ado, il n'en avait jamais fait, c'était plutôt les autres qui les faisaient pour montrer qu'il avait traversé une dure épreuve et que voilà, il avait des choses et patati et patata, c'était n'importe quoi, il n'en faisait pas parce qu'il ne parlait pas souvent de lui. Sa voix était redevenue douce.

Je n'allais pas dire cela. Et puis je ne suis pas comme les autres adolescent qu'on peut croiser dans la rue ou dans les rêves partis. Je sais que vous me comprenez avec en plus ce que vous avez du subir vous aussi durant votre enfance. Je sais ce qu'on peut ressentir dans ses moment-là et je vous en remercie.

Il avait adressé un mince sourire aux lèvres. Mais la seconde phrase le fit réfléchir. Qu'avait-elle à lui montrait ? Quelques choses d'important sûrement, peut-être ses blessures ou des photos de famille, ce qu'il n'avait jamais eu. Lui aussi devrait lui montrer ses transformations.