téléportation Paris - New-York 2éme essai.

Floriane savait a present se servir assez bien de son don de téléportation. Elle avait fais plusieurs essais sur des distances de plus en plus longue depuis son premier essai Paris=>NYC... Qui n'avait pas été une réussite XD.
Elle venait d'attérire dans un coin sombre et a l'abris des regards dans la ville de New-York.
A l'abris des regards? Pas de tous, un jeune garçon qui devait avoir dix ans peut être l'avait vu et la regardait avec des yeux rond, elle lui sourit et mit son index sur ses lévres( à elle XD) en faisant un petit sourire, elle alla vers le garçonnet et lui demanda:

"Dis moi, comment t'appelle tu?
-Euh...Aaron...
-Ecoute Aaron, tu dois me promettre de ne rien dire à personne, d'accord?
-d'accord...
-Merci, ce sera notre secret, maintenant file!"

Floriane se redressa et le garçon partit. Elle sourit et regarda autours d'elle. Elle regarda son téléphone portable, l'heure indiquait 16 heures 45. Elle soupira et pensa: *Mince, j'ai mit dix minutes à me téléporter de Paris à New York, c'est pas cool! J'aurais pû faire mieux!*

Gabriel se baladais dans les rues de new york se soir là, tout était bien calme, trop calme...Comme d'habitude, ou Gabriel va, tout trépasse...
Il entras dans les petites ruelles, il voulait aller de soulager, et vit une femme de dos se concentrant, elle regardas sa montre...

* Elle...C'est... *

Sylar s'approcha, son envie de se soulager partis, il était d'un côté bouleversé, mais de l'autre il ne savait pas comment réagir, la dernière fois que Floriane l'avait vus il était au sol, mort...

- " ça faisait longtemp, Florianne ! "

Floriane ferma d'un coup son portable et le rangea dans sa poche en entendant quelqu'un lui parler, sans se retourner, elle savait qui il était et n'avait pas envie, mais vraiment pas envie de le regarder.

"Tiens tiens, Gabriel... Oui, très longtemps"

*Et pas assez longtemps si tu veux savoir*

"Je savais bien que tu n'étais pas... mort. "

Elle avait dit tout cela d'une voix tout à fais normale, ni effrayer, ni énervée, mais qu'elle essayait de rendre le plus normal possible. Elle regarda sa montre, 16 heures 53, elle se demandait combien de temps il lui restait a vivre.

Gabriel rigolas, il savait que Florianne se fouté de lui, il le savait...Et cela depuis le début

- " Tu as pas l'air heureuse de me voir...Florianne "

Sylar s'avancait de plus en plus d'elle, les mains dans les poches, il était triste...

Elle fit un signe non de la tête en baissant les yeux, toujours sans regarder Gabriel.

"Tu essaie de me tuer, tu dit que tu as sois disant batus... Sylar c'est ça? C'est pas une marque de montre ça?"

Demanda-t-elle simplement, en faisant style de réfléchire, mais elle savait très bien qu'elle disait vrai.

"Et donc, je devrais être ravie de te voire et te prendre dans les bras comme un ami d'enfance?"

- " Héhéhéhé... "

Un silence froid s'instalas...Un silence pas rassurant...

- " Je suis désolé, tu ne veux vraiment plus me parler ? :'( "

Dit Gabriel tout en ayant une voix émues...

Floriane posa l'un de ses coude sur son genoux et se tapa la tête avec sa main.

"Non mais serieux! Qu'est-ce que je suis en train de faire depuis que tu est arrivé!"

Elle se leva et le regarda cette fois droit dans les yeux, et elle n'était pas préte de syller.
Gabriel n'avait pas changer depuis la derniére fois. C'est bien domamge pour la mentalitée de son double...

- " Ku ku ku ku...Tu n'est qu'une chose insignifiante...Tu ne vaux rien..Même pas la peine que je te tue...De toute façon...Tu fuirait... "

Sylar parti d'où il revenait, tout en ayant un sourire...Il prononça une dernière phrase avant de disparaître dans la pénombre des rues...

- " J'aime voir les choses bouger, elles sont ennuyeuse quand elles ne bougent pas...Un moulin immobile peut être beaux de temp en temp, mais la plus part du temp, c'est une horreur a regarder ! Je veux faire bouger se moulin avec le vent de la destruction... ku ku ku "

Floriane sourit puis se téléporta a quelques centimêtres devant Gabriel.

"Ah oui? Tu ne disait pas que j'étais une chose horrible quand tu as demander à William de me dire que tu m'aimais, mais maintenant tu as du trouver une autre jeune femme sans défense à pieger n'est-ce pas?"

Elle sourit, elle le regardait dans les yeux, pas avec un regard noir, avec un regard tout à fais normal.

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